dimanche 28 octobre 2007

arrivee a Riobamba (5)

on part des cabanes en vitesse apres une petite photo et que le bus n'attend pas. Cesar fait un crochet, on ne pourra pas lui dire en revoir.
Que de souvenirs et de piqures d'insectes ¡
Nous voici au pied du chimborazo le plus haut sommet d'equateur (6300 m).
demain on va peut etre louer des velos pour faire une rando.

un peu de pirogue (4)

Aujourd'hui, on fait de la pirogue ¡¡


Nous visitons un musee presentant les pieges pour la chasse puis un parc qui receuille des animaux avant de les remettre en liberte. Nous voyons entres autres le plus petit singe et un gros cochon d'inde : le capibara.


On pic-nique ensuite sur une berge du fleuve napo.
On assiste a la demonstation de fabrication de ceramique et on visite un parc dedie aux papillons.
Super journee, demain, on part, snif ¡

premiers pas en foret amazonienne (3)


Petit dej a 8h et pluie jusau'a 9h. On fait connaissance avec notre guide Ramiro et puis, c'est parti.
C'est tres beau on passe sur de petites cretes surplombantes la foret puis on marche dans les petis rios.



Il nous explique les plantes medicinales. A midi, ramiro coupe des feuilles de palmier qui font office de pleid pour manger du riz avec du thon, carotte et brocoli dans le tuperware local: feuille vegetale. Puis un fruit et on repart.

Nous passons chez lui pour voir la preparation de la chicha de yuca (alcool). On goute, bof.
on rentre se prelasser dans les hamacs.

arrivee en amazonie (2)

Le lendemain, on part pour tena ou la chaleur y est ecrasant. Un petit trajet en bus plus tard, et puis nous voila dans une pirogue avec le vent frais et le super paysage.
On arrive aux cabanas Nanambiiki et sommes acceuillis par Orlando avec un petit jus de fruits frais.
Cesar, le PDT de la comunaute arrive alors que le repas se prepare et que nous sommes dans les hamacs¡
Demain, on part en foret (selva).

dernier jour a banos (1)



Ce matin, detente dans les eaux thermales ¡ 3 bassins allant de 15 á au moins 35-40 C. on commence par le bassin intermediaire, puis le tres chaud et le froid. Enfin, surtout ibti, moi, je n'ai mis
que les chevilles.




Puis on part en direction de Puyo. Les sacs a dos sont en soute, a cote d'une cage de cochons d'inde. le sac d'ibti morfle, du caca sur tout la hauteur¡
Puyo est notre etape avant la foret amazonienne, on visite le parc ethnobotanique OMAERE avec un guide. Premiere introduction aux plantes medicinales, un arbre qui marche (un palmier avec plusieurs troncs), seve contraceptive, ... la vie des tribus locales (shuar et huaorani). Pour annecdote l'age des arbres se definie aue au carbone 14 car les cercles crees par les differences de croissance du aux saisons n'exite pas en amazonie (pas de veritables saisons).
On visitee deux maisons de ces tribus et le guide nous racontre leurs coutumes ( si un homme meurt, son frere doit epouser toutes ces femmes. les femmes accouchent seules dans la foret sur des feuilles de bananiers).
Puis on se balade sur le 'paseo touristico' le long du rio puyo au frais dans la vegetation.
On rentre, un orage se declenche et tome meme a moins de 100 m. Je vois
une gerbe de feu et puis on se retrouve dans le noir (plus de courant). on part manger un plat typique, dans une feuille de bananier.

lundi 22 octobre 2007

quelques jours a banos 3

On arrive de nuit a banos. La, il fait deja tres chaud et on retombe dans une ville tres touristique.
On file dans un hotel sympa recommande par le lonely planet, petit jardin, hamac, petite cabanne avec cheminee, musique, internet,...


La ville de Banos est tres agreable malgre la grande presence touristique. Beaucoup de sports outdoor et d'excursions sont proposees, rafting, grimpette, saut a l'elastique, quad,... et puis c'est la ville des miracles, cf lourdes avec sa petite grotte, et des eaux thermales.


Il faut dire que derriere la ville la presence du volcan Tungurahua, 5000 m toujours en activite y est pour beaucoup. Il fume tout les jours.


Nous profitons du cadre pour faire des randos et une excursion en velo, la route des cascades.
Facile, c'etait de la descente mais par contre, on a pris beaucoup de cendre du volcan qui volaient dans les airs.




Demain, bain thermal avant de partir pour 4 jours en foret amazonienne.

lagune Quilotoa 2



Zumbahua est un petit village entoure de montagnes dont les flancs sont tapisses de champs cultives de plein de couleurs de bas en haut. cela donne un patchwork assez sympa et le sol
etant tres sableux, on y decouvre des canyons assez impressionnants. Ici il fait beaucoup plus froid.le lendemain matin, on part de bonne heure vers la lagune Quilotoa. La, des picksup ou
camionettas nous propsosent de nous y amener pour 5 dollards.


on refuse et continuons notre chemin bien emmitouffles dans nos pulls et gants.



On grimpe tranquillement pendant 3 heures et on arrive la haut, 3800 m, dans la brume, la peur de rien voir nous saisis.Mais heureusement, on a de la chance, c'est degage dans la caldera. Elle est plus petite que celles que nous avons vu precedemment mais l'atmosphere qui s'y degage est particuliere, un peu frantasmagorique.



On redescend sous la pluie bien que nous ayons refuse des pickups et ayons fait baisser le prix a un dollard par personne.On retourne a l'hotel et on prend nos affaires pour monter dans un bus pour latacunga, Banos. Le bus est blinde. On monte quand meme. renan est assis sur une banquette qui se situe au dessus du moteur et Ibti est debout. Pas pour longtemps, une place se libere a cote du chauffeur. sympa, vue super sur la route. La dame assise a la droite d'ibti essuie le pare brise pour enlever la buee.

Pas de panique, on est de retour 1

Finalement, nous ne sommes pas all'e au Cotopaxi, le ciel etait trop nuageux et la saison
pas super pour les fleurs. Nous avons decide d'aller a l'aire de recr'eation Boliche qui est attenante au parc Cotopaxi. N'ayant pas trop d'informations, sur ce lieu, on part a l'aveuglette, avec notre modeste carte. On arrive au village de Lasso au Nord de Latacunga car d'apres notre carte, une route menait a l'aire. La, on tombe sur une auberge de jeunesse qui propose des infos sur la region. Le gerant tres sympa et encore en pyjama nous explique que nous sommes trop bas de 12 km pour l'entree et qu'il faut reprendre le bus. On paye et on explique au chauffeur qui ne connait que le cotopaxi. Alors on zieute, et on voit une entree de parc. un petit baja, on veut descendre au chauffeur, et on descend encore trop bas. un guide nous vend son excursion dans le parc du cotopaxi de 50 dollards pour 5 h de visite a la va vite du parc, et ben, non. il nous propose de nous emmener a l'aire pour 10 dollards, prix d'une dizaine de petit dej, non.On part a pied en longuant la voie ferree desafectee.
on mets 2h30 pour arriver a l'aire. il faut quand meme payer 10 dollards et il est 11h30, il nous reste environ 3h avant la pluie. zut, on rentre, on aura fait une belle balade.De latacunga, on decide de partir pour Zumahua, dernier vrai village avant la lagune de Quilotoa.

mardi 16 octobre 2007

Laguna Cuicocha

Nous sommes donc partis de bon matin depuis Otavalo dans un pick-up pour le dernier village avant la lagune (Quiroga). Il nous a propose de nous emmener jusqu a la lagune. On as repondu c pas drole on y va a pied ( avec tout notre matos sur le dos). Sous un soleil de plomb ( il etait que 7-8 h), nous avons monte sur une petite route en bitume (10 a 12km). Nous sommes arrives a la lagune Cuicocha deja bien fatigue ( 11 h). On decide de faire une pause repas. Puis nous montons une crete de la caldeira jusqua pres de 4000 m.
Le paysage est grandiose mais nos sac a dos mal regles et la crete ont fini par nous achever. Apres de nombreuses pauses nous passons successivement sur la crete et dans des sortes de fosses tres etroits pouvant aller jusqua 2m de profondeur, nous arrivons a la moitie de la peripherie. On s arrete pour planter la tente. Renan cherche de l eau dans le rio asseche pour les pates. Et ibti de se rend compte qu elle a perdu une chaussure de course pendant la rando. Il fait toujours aussi chaud mais le froid est arive d un coup avec la nuit (6h30).
Au leve, une extremite de la tente etait gelee. Mais nous, nous avons pas du tout eu froid. Merci les bons duvets.
Et on repart. Vers 9h30, un homme nous interpelle et nous propose de nous amener au village, on accepte.
On prend un bus pour Otavalo, un petit dej, un autre bus pour Quito, et enfin un dernier bus pour Latacunga depuis lequel les paysages sont superbes.
On prend une douche dans l hotel et on se repose. Le matin, on fait la lessive et on se ballade. Ca caille dans ce pays ¡¡
Cette apres midi petite rando et demain nous allons au pied du Cotopaxi (5800m).
Apres demain, encore une lagune : Quilitoa.

Pas de photos aujourd hui: ca marche pas¡¡

dimanche 14 octobre 2007

Passage du cote d Otavalo

En cette premiere journée à Otavalo, nous parcourons les rues de cette paisible ville puis nous marchons jusqu'á la lagune san pablo a quelques km au nord.

Au retour nous passons par le parc Condor rempli d'eucaliptus.
Nous apprenons vite que dans cette région il fait très beau et chaud le matin et que l'après midi il se met à pleuvoir.


Le lendemain, reveil à 5h pour une grosse journée de randonnée vers la laguna mojanda. Elle se situe à environ 20 km d'Otavalo et est perchée à environ 3700 m (Otavalo : 2500 m environ).
Nous gravissons la montagne en passant de petits villages dans lesquels des paysans cultivent leurs champs pentus voir très pentus.

Au fur et a mesure que l'on grimpe, on change de végétation. On passe alors dans une foret humide avant d'atteindre des etendues de graminées balayées par le vent ( le Paramo).
Nous mettrons 5 h pour monter ( pas mal pour un debut ¡¡ et sur les pavés) et 3h30 pour redescendre sous la pluie.
La douche très chaude au retour fut très appreciable.


Samedi, jour de marché les rues d'Otavalo se remplisent progressivement alors que nous nous dirigeons vers notre petit dej.
Des marchands venus de Bolivie, Colombie, Perou viennent vendre leurs productions dans cet immense marché ( vetements, instuments de musique, disques de music, alimentation,...).
Beaucoup de couleurs, envie de tout acheter mais nos sacs à dos (deja lourds) nous restreignent.
Renan a quand meme craquer pour un gros pull et on a craqué pour une mantilla ( il faut dire que la vendeuse nous a pas lacher¡)

.

Apres avaler deux bananes, on file au Nord de la ville pour une balade de recuperation de quelques heures pour une cascade prise d'assaut par les equatoriens pour la fraicheur du lieu.
Apres un petit repas de poisson et de riz bien sur, retour a l'hotel.
Demain, on quitte Otavalo et on fait un petit crochet au Nord pour un petit treck de 2 jours autour de la laguna Cuicocha.

jeudi 11 octobre 2007

A cheval sur les hémisphères (2)

Aujourd'hui il fait très beau, direction excursions. Mais avant peti dej equatorien à ne pas manquer : pain brioché, bol de lait chaud avec ou sans café, omelette et un grand verre de jus frais de papaye et melon, le tout pour 1 dollard ¡


Nous sommes partis au cratère de Pululahua, une caldéra de 6 km de diamètre avec une nouvelle cheminée au centre bordée de plaines cultivées. Il culmine à environ 3100 m mais devait faire, avant qu'il s'écroule, environ 6000 m.

Ces explications nous ont été racontées par un guide francophone financé par l'alliance francaise.

Ibti se demande si elle n'a pa rechutée (diahrée).

Puis nous allons vers l'escursion incontournable : la Mitad del Mondo.
C'est lá que des scientifiques francais ont établi que les deux hémisphères se séparaient. Mais ils se sont trompés, la ligne se situe un peu plus haut au niveau de Cayambe.
On s'attendait à un momument sur une butte de verdure mai c'etait un gringo's land (boutiques, enceinte car il faut payer bien sur).

Puis, retour à toute vitesse vers Quito (la pluie menace) pour prendre les affaires et partir à Otavalo.
Là, nous attendent des lagunes (lacs de montagne) et le super marché samedi.

La ville est paisible, les gens de l'hotel charmants.
La terrasse de l'hotel où seche notre linge nous offre de supers paysages.

A cheval sur les hémisphères (2

Escale à Quito (1)

Après 8-9 h de bus nous voila dans la capitale vers 18h30 de nuit, sous la pluie, avec 10 C de moins. Le moral est moyen.

On trouve un hotel à l'arrache, en renovation similaire à une auberge espagnole.

Après une douche tres tiede, et une bonne nuit de sommeil, le soleil etant là, notre première mission est de trouvé une carte touristique de Quito. On a mis 2h¡ Il faut dire aue nous sommes tombé sur un groupe de francais devant l'hotel mercure qui nous ont donné un contact au chili (affaire à suivre).

On a flané dans Quito : un quartier moderne (grandes banques,
gros supermarchés, concessionnaires de prestige,...),
un quartier touristique (que les equatoriens appellent gringos's land) et le vieux quito qui date de l'epoque colonniale avec ces belles églises, ces ruelles en pente bordées de maisons de toutes les couleurs avec de super patios.
Puis, ce fut une nuit ponctuée par les gouttes d'eau venant du plafond jusqu'a nos bassines de fortune. Nous profitons de cette journé de pluie pour visiter le musée de la banque centrale retracant l'histoire des differentes civilisations equatoriennes et de faire quelques courses.

mardi 9 octobre 2007

Première turista... première invitation équatorienne (2)

C'est vraiment très simple et très facile de prendre le bus en Equateur. On peut partir sur un coup de tête.




Arrivés à Montecristi vers 11 heures 30, on est plombé par la chaleur devant l'église. En effet, la ville est situé sur un flanc de montagne. L'ambiance est sympathique et l'église est très jolie. On flâne dans les rues pour admirer la fabrication des Panamas.Mais les premiers signes d'une diarhée se font sentir pour Ibti. On décide alors d'aller à Manta, ville côtière á 30minutes de bus pour prendre l'air et se reposer sur la plage.




Là, nous rencontrons Boris, un équatorien de notre âge qui distribue de la pub pour un resto.

Il entame la conversation et nous donne un cours d'espagnol. On ne se quittera pas de la soirée. Il nous fait découvrir les tacos et nous invite à dormir chez lui. Il prendra soin d'Ibti malgré qu'elle lui aura pourri ses toilettes ¡¡, en lui faiant une infusion de "llantén" avant de dormir pour nettoyuer toute la "tuyauterie" et le lendemain matin un verre de jus de citron très salé. Un peu raide dès le réveil. Il sera très triste de nous voir partir et nous de le voir voir aussi triste.Les 'equteuriens sont vraiment des personnes gentilles. Beaucoup viennent en aide lorsque nous sommes perdus ou nous disent de faire attention à nos sacs car il y a des personnes malhonnêtes.

Premier trajet en bus (1)

Cette fois ci pour aller au "Terminal terrestre" ou gare routière nous prenons le "metrovia" qui est un genre de metro-bus. Les arrets ressemblent à des stations de métro mais on rentre dans un bus. Et cette fois on ne se fait pas rouler : 0.25 dollars le trajet contre 4 en tax¡ ¡¡¡ Arrivés à la gare routière un grand panneau présente l'équateur découpé en zones. Chaque zone possède une couleur avec les villes principales desservies. On a plus qu'à aller au guichet correspondant. Ce fut très rapide et un quart d'heure plus tard nous voilà partis direction Puerto Lopez. Le trajet en bus est vraiment typique. Il y a un chauffeur plus une autre personne qui s'occupe des passagers et qui rammeute les clients en criant au pied de la porte les destinations. Chaque fois qu'une personne lui fait signe, il s'arrête. toute une zone est dédiée à des marchands ambulants de "coco helado" ou glace à la noix de coco, gâteaux et boissons....

Nous mettons plus de 4 heures pour arriver à Jipijapa. nous traversons des rizières, et des endroits beaucoup plus arides. Sur le bord de la route il y a beaucoup de maisons faites dans les matériaux locaux: bois, bambou sur pilotis avec des hamac pour faire la sieste.

A Jipijapa, nous changeons de bus car il a du un peu trop chauffer. 15 litres d'eau pour le radiateur ¡¡¡

Arrivés vers 15 heure à Puerto Lopez, on est un peu décu. On se retrouve en faite dans un petit patelin et avec notre allure de "gringos" on ne passe pas inapercu ¡¡ On se fait constament héller par les taxis-men montés sur des tricycles à moteur. Il y en a même un qui ne nous lachait pas tant qu'on aurait pas céder pour un hôtel au'il nous proposait.



Il fait gris et on ne se sent pas tout à fait à l'aise dans cette ville. Les touristes restent rares et visibles seulement le soir sur le front de mer.

Les 2 grosses attractions de la ville sont le parc Machallila et le tour de l'île de la Plata (50 dollars la sortie ). La seule banque étant fermée nous décidons de partir directement pour Montecristi.

samedi 6 octobre 2007

nos premiers jours...

desolé d'avance, pas de photos pour le moment, l'ordi ne veut pas de mon disque dur ¡¡
et désolé pour les fautes, ce sont des claviers QWERTY et españols ¡¡
nous sommes donc partis le 3 octobre de Paris pour Guyaquil avec une escale a madrid. L'escale devait durer 1h30... elle a durée 24 h¡ notre premier avion a eu du retard et on a raté notre 2eme avion car notre correspondance etait trop courte. Iberia nous a trouvé un vol pour le lendemain mais il aura fallu de nombreuses discussions pour qu'ils nous payent le taxi, l'hotel et les repas.
Dans notre malheur nous avons eu une apres midi pour visiter le centre de madrid¡¡

Arrivant en equateur, nous avons découvert le coté tropical de la plus grosse ville du pays des que nous avons passé les portes de l'aeroport.
Après la viste de la rue principale, malécon 2000 ( l'equateur est un pays très pauvre mais les monuments sont imposants¡), du quartier de las peñas avec ces maisons en bois, nous primes un premier bus pour Puerto Lopez. Le ciel gris ne nous a pas empecher de voir des pélicans et frégates nous faire une demo de peche dans l'ocean pacifico ¡¡

les photos viendront, c'est promis ¡

a bientot